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Les Chroniques d'Arkanir

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Les Chroniques d'Arkanir Empty Les Chroniques d'Arkanir

Message par Turozero Mer 9 Fév - 21:08

Voici une histoire sur laquelle j'ai longtemps bossé, elle a été prise et reprise je ne sais combien de fois (donc normalement il ne devrait pas avoir de fautes, mais bon des fois à force de relire je ne les vois plus). Je préviens juste: il y a beaucoup de personnages principaux. La préface est aussi faite sur un plan assez original: j'ai donné la parole à Marius, un historien d'Asclépio (une ville du monde où l'histoire se passe), et il raconte les recherches faites sur un livre écrit par Korothari et datant d'une époque lointaine. Les Chroniques sont donc présentées comme des parchemins en cours de déchiffrage.
Les Chroniques seront normalement faites en trois parties: La Guerre des Dieux (finie), Le Tourment de Néant (en cours) et Les Cristaux de Pouvoirs (pas commencé). La Guerre des Dieux raconte la guerre entre les démons menés par leur dieu Istoro contre les autres races d'Arkanir menées par les élus des autres dieux, enfermés dans leur monde. Je ne parle donc d'aucune ville. Par contre, le Tourment de Néant est fait comme un voyage: à chaque chapitre ou presque on change de ville. Ainsi au chap I on est à Radion, au chap II à Asclépio, au III à Démonirus,... Cela étant possible car les élus sont séparés. Et on comprend le sens du titre au fur et à mesure du déroulement de l'histoire. Les persos seront notamment plus détaillés dans ce volet.
Voilà désolé d'avoir fait cette présentation aussi longue mais je pense vraiment qu'elle s'imposait. Sur ce, bonne lecture, en espérant que cela vous plaise.

Les Chroniques d'Arkanir

Partie I: La Guerre des Dieux

Préface


Les Chroniques d'Arkanir sont un ensemble de parchemins vieux de quelques millénaires. Faits à partir de peau de dragon céleste, donnée par ces derniers, ces parchemins de savoir et de récits de temps ancestraux ont traversé le temps sans en ressentir l'effet. Ils sont écrits en une langue si vieille que sa lecture est devenue synonyme d'un déchiffrage long et complexe. Les deux premiers rouleaux sont pourtant à votre disposition, traduits par les plus grands historiens de notre ère. Le récit commence ainsi:
« Le seigneur Soleil, tout d'écarlate et d'or, se couchait sur les plaines d'Hûr, se trouvant au centre du pays, balayées par de violents vents de poussières. Si le ciel où évoluait le sire de feu était d'un calme oppressant, la demeure de dame Terre retentissait des sons de la bataille qui s'y déroulait. Des cavaliers en tenues noires et aux lances aux oriflammes d'un rouge aussi écarlate que le Soleil fonçaient à grande allure sur un groupe de lanciers en position. Les cavaliers n'étaient pas humains, leurs cornes, leurs griffes, leurs queues, leurs ailes; le démontraient. Les lanciers étaient de blanc vêtus et leur amure était d'or; ils faisaient faces aux créatures démoniaques qui fonçaient sur eux avec un sang froid exemplaire. Lors de ces charges brutales, les chevaux s'empalaient sur les lances et nombre des lanciers se faisaient piétiner par les équidés survivants. Puis, sans signe avant coureur, le ciel se couvrait de flèches aux pointes mortelles qui s'abattaient sur les cavaliers, décimant les rangs de la cavalerie légère. Mais derrière les lambeaux de ces cavaliers agiles et rapides chargeaient la cavalerie lourde dont l'armure détournait flèches et épées, les chevaux de cette cavalerie était tous d'un noir d'encre et de leurs yeux s'échappaient des flammes. Après le passage de cette cavalerie, il ne restait guère d'archers et d'épéistes encore en état de combattre. Le sang des guerriers recouvrait la Terre fertile et l'on pouvait entendre ses plaintes de tristesse dans la message hurlant de sire Vent.
Cela faisait environ trois semaines- si ce n'était un mois- que les deux armées chargeaient l'une contre l'autre sans qu'aucune ne parvinsse à vaincre définitivement l'autre ou à prendre ses positions. Dans l'état actuel des choses, nombre de soldats mourraient dans ses escarmouches violentes et seuls les plus grands guerriers sentaient encore leur coeur battre sous leur torse. Une guerre humaine est déjà terrible mais une guerre qui rassemble toutes les races du pays est plus terrible encore. Il y avaient-là les humains, maîtres de l'acier; les agiles guerriers elfes; les puissants dragons; les mystérieux loup-garous; les kitsunes, énigmatiques démons renards; le beau peuple sirène; les griffon de foudre, terribles maîtres du tonnerre; les changesprits, enfants de la lumière et des ténèbres; les centaures, les solitaires hommes chevaux; les serpenses, subtils êtres serpents; les glacimies, froids cousins des elfes; les éthery, anges de l'éther;les anges, enfants de la lumière et les démons, enfants des ténèbres. Même les dieux s'en mêlaient mais en ces temps-là, en ce monde, les dieux étaient des êtres bons et leur objectif était de préserver la paix et la survie du monde. Mais des fois l'un ne peut être avec l'autre et la guerre est parfois nécessaire. C'était en ces temps de peur et d'horreur, d'ignorance et de découvertes, ces temps où les dieux vivaient parmi les mortels, ces temps où les héros n'étaient pas si rares. C'était un monde à l'aube de son existence et qui déjà était menacé d'extinction. Le nom de ce monde était Arkanir. Et son salut ne tenait qu'à un petit groupe d'élus des dieux.»
À partir d'ici, l'auteur se met à présenter chaque élu et chaque dieu, pour un souci de clarté, nous avons consigné ces pages avec le lexique qui se trouve à la fin de ce livre. Donc après avoir décrit l'histoire, le physique et le caractère de ces héros choisis par les dieux ainsi que les dieux même, les lignes du parchemin reviennent au récit:
« Cette guerre opposait les armées démoniaques du dieu Istoro, vil et violent, contre celle des élus des autres dieux, bons et pacifiques. Istoro le renégat, par un stratagème de la pire espèce, avait enfermé ses frères et soeurs dans leur monde divin et en profitait pour semer le désordre et l'infamie en Arkanir, le monde terrestre. Mais les autres dieux, à l'initiative de leur chef Magorath, décidèrent que cela ne resterait pas ainsi. Magorath réunit donc un conseil des dieux et exposa son idée: il voulait réveiller les pouvoirs endormis en chacun des élus pour que ceux-ci puissent contrer les noirs desseins d'Istoro. Les élus se virent donc octroyés des pouvoirs divins de leurs protecteurs. C'est alors que Magorath fit une chose qui scella le destin d'Istoro. Il existait en Arkanir un démon qui avait refusé de se joindre à l'armée d'Istoro. Poursuivi, il ne se faisait guère d'illusion quant à son futur: il serait rattrapé et mis en pièce. Mais Magorath ne fut pas d'accord. Il chargea les élus de le sauver, ce qu'ils firent, et réussit à réveiller les pouvoirs endormis de ce démon qui était en fait l'élu d'Istoro. Ce démon se nommait Yumi et il était nécessaire pour arrêter Istoro car pour tuer un dieu, il faut le pouvoir de tous les dieux même de celui qui doit mourir. »
Après ce dernier paragraphe, l'auteur, une certaine Korothari, commence l'histoire de la première partie des Chroniques d'Arkanir, la Guerre des Dieux, dont ce qui est plus haut est le début.

Historien Marius de l'Académie d'Asclépio.

Chapitre 1: Le Conseil


-Kratos!!
Le cri retentit dans le campement avec la force d'un ouragan, le jeune elfe aux cheveux rouges qui répondait à ce nom sursauta et faillit tomber de la saillie où il était assis. Le campement était souterrain et le jeune sylvestre avait voulu voir le soleil. Il était donc allé sur une petite plate-forme qui sortait au dehors et qui était assez haute pour que l'armée ennemie ne le voit pas. Penser à l'armée ennemie fit alors resurgir sa tristesse quant à cette guerre sanglante et apparemment sans fin.
-Cette guerre ne finira jamais, murmura Kratos en pensant aux derniers jours qu'il avait passé. Il ne se souvenait que d'avoir esquivé les coups des épées rouillées qui déferlaient sur lui et éviter que son cheval ailé, Doux-torrent, ne soit tué car, par manque de monture, il aurait dû combattre à pieds avec les fantassins. «Tout mais pas ça!» L'elfe frissonna de la tête aux pieds en pensant à cette perspective, les fantassins étaient les premiers à mourir, leur sang se mélangeant à la boue.
- Kratos!!!
Le cri fit de nouveau sursauter Kratos et le réveilla de ses pensées pessimistes. Il se mit à dévaler, d'une démarche légère et rapide n'étant pas sans rappeler celle d'un chat, la pente de la caverne qui menait au centre du campement, qui s'étendait sur plus de cinq kilomètres, et se présenta essoufflé devant celui qui l'appelait: un homme au visage sévère encadré par des mèches de jais et aux yeux luisants tels ceux d'un fauve.
- Notre jeune élu de Magorath daigne enfin arriver, dit alors une voix grave sur un ton amusé.
Une créature mi-lion mi-aigle sortit de la tente qui se trouvait derrière l'homme aux yeux de fauves, son pelage était d'un doré chatoyant et ses plumes couleur foudre. Il planta ses yeux noirs dans ceux de Kratos et claqua du bec d'un air malicieux.
- Baragan! Que se passe-t-il?, lui demanda le jeune elfe.
L'homme aux yeux de fauves coupa l'élu d'Amarie la déesse Dorée en déclarant d'une voix coupante:
- Notre délégation vient de revenir. Nos ennemis les ont attaqués en traîtres. Les négociations ont échouées. Il faut convoquer le Conseil.
Kratos s'était figé, horrifié par cette nouvelle, de tous, il avait le plus cru que la guerre pouvait se terminer par ces négociations.
- Zéphiron et Alfay? Ils sont...
Kratos n'eut pas la force de continuer, il avait peur d'entendre dire que ses amis n'étaient plus.
- N'est crainte et remercie dame Filina d'avoir épargné nos amis, ils sont les seuls survivants.
La voix de l'homme aux yeux de fauves s'étaient adoucie mais son visage se ferma un peu plus. Maintenant Kratos comprenait pourquoi il était aussi en colère: au contraire de ce qu'on pouvait penser, le capitaine des élus tenait fortement aux guerriers qui étaient sous ses ordres et il se sentait coupable de la mort de ceux de la délégation.
- Slino!
Baragan, Kratos et l'homme aux yeux de fauves se tournèrent vers la voix: elle appartenait à une femme-renarde au pelage de cuivre et de noir et aux yeux d'un bleu profond.
- Zéphiron va mieux et Alfay s'est réveillé. Commençons-nous le Conseil?
- Oui. Merci de m'avoir prévenu Kai, répondit l'homme aux yeux de fauves qui répondait au nom de Slino.
Le Conseil commença peu de temps après, il y avait Slino, Barragan, Kratos et Kai mais aussi Zéphiron, un elfe albinos dont les cheveux, les yeux et la peau était d'un blanc immaculé quoique maladif ce jour-là; Alfay qui était couché mais conscient, ses ailes blanches recouvertes de pansements virant à peu plus au rouge à chaque respiration laborieuse de l'ange aux cheveux blonds pâles plaqués par la transpiration sur ses tempes; l'humain Musical, brun de cheveux et vert de yeux, qui semblait perdu dans ses pensées; Driana la sirène qui avait pris forme humaine bien que ses longs cheveux ondulés d'un bleu marin ne trompa personne; Him'or et Taori qui discutaient à voix basse, le serpense aux écailles vertes et noirs secouant la tête devant les propos du changesprit; et enfin Kyrany qui s'occupait à détendre ses pattes chevalines, la centaure couleur fauve commençant à se lasser de sa position inconfortable. Puis il y avait un elfe qui ressemblait énormément à Kratos avec ses longs cheveux rouges et ses yeux verts pâles. Quatre sièges étaient encore vide car quatre membres des élus étaient absents.
- Yria, Fikary, Yumi et Kahyj manquent à l'appel pour cause de mission. Je déclare donc, moi Slino Crocs-écarlates capitaine des élus, ce Conseil ouvert!
Slino se rassit, le dos raide, et déclara d'une voix rendue dure par la colère et la tristesse:
- Hier nous avons envoyé les commandants Alfay et Zéphiron en mission de négociations pour mettre à terme à cette horrible guerre. Pour que nos chances de succès soient plus grandes, nous n'avons pas prévenu nos ennemis. Aujourd'hui, la délégation n'est plus et les seuls survivants sont les deux commandants. Que devons-nous comprendre à cela? À part que la guerre continue.
- Ils nous attendaient.
Ce n'était pas une question mais une affirmation émanant de l'elfe qui était le portrait craché de Kratos.
- Que veux-tu dire, Darkos?, questionna Slino.
- Ils étaient au courant de notre arrivée. Zéphiron et Alfay sont tombés dans une embuscade.
Kratos écarquilla les yeux et regarda son père avec effroi: comment cela se pouvait-il? Darkos se prit le menton dans une main, son visage marqué par le temps se plissant, et commença à poser des questions aux deux rescapés:
- Comment a débuté la bataille?
- Une volée de flèches, lâcha Alfay dans un souffle.
- Puis des carreaux d'arbalète sur nos cavaliers lourds, continua Zéphiron.
- Vous n'avez donc rien pu faire?
- Non, quand on a compris ce qu'il se passait, pratiquement tous étaient morts.
- Puis on a essayé de sauver le reste de nos hommes par la fuite mais nous sommes les seuls qui y avons réchappé. Nous avons...
Alfay ne put continuer, sa blessure l'en empêcha mais Him'or finit pour lui:
- Vous avez été épargnés consciemment. Mais dans quel but?
Un silence de mort régna alors dans le Conseil, silence qui fut rompu par un seul mot de Slino, un mot dit sur un ton si funèbre que plusieurs des élus ,dont Kratos, tressaillirent:
- La peur.
Il eut un silence oppressant avant que Darkos ne se décide à le rompre en appuyant l'idée émise par Slino:
- Ils veulent semer les graines de la terreur parmi nous, acquiesça Darkos.
- Cela ne marchera pas!, tonitrua Baragan.
- Peut-être pas avec nous mais...euh..., Kratos se tut quand il prit conscience que tous les regards s'étaient tournés vers lui, sa timidité le laissant sans voix devant les yeux intéressaient des autres élus.
- Continue mon fils.
La voix douce et ferme de son père permit au jeune elfe de reprendre courage et de finir sa phrase:
- Mais les soldats sont superstitieux et cèdent assez facilement à la peur s'ils voient leurs chefs ne rien pouvoir faire. Alors...
- Si nous, élus, on ne peut rien, personne n'y peut, finit Taori dans un murmure.
- Et cela serait gênant.
La voix à l'accent chantant de la centaure ne se faisait que rarement entendre et tous le monde leva des regards surpris vers Kyrany. Baragan s'exclama avant qu'elle ne put s'expliquer:
- Qu'est-ce qui serait gênant?!
- Évite de crier, Baragan, on t'entends très bien.
- Désolé Slino.
- Ce qui serait gênant mon cher ami à plumes, c'est que nos soldats perdent confiance en nous et qu'ils commencent à déserter, expliqua Kyrany.
- Et que nous nous retrouvions sans armée, termina Musical en donnant un accent dramatique à sa phrase.
- Nous devons empêcher cela, clama alors Slino, qui a une idée sur la question?
- Le seul moyen, Darkos regarda tous les élus assis en cercle, est de monter une expédition punitive. Cela seul apaisera les soldats. Mais le danger est grand car nous devrons y aller en groupe réduit.
- Si c'est le seul moyen, alors c'est ce que nous ferons, décida le loup-garou.
Darkos était le seul d'entre-eux qui avait déjà un véritable passé militaire avant cette guerre, cet ancien général elfe maintenant général des élus les avait sorti maintes fois de situations pénibles par ses conseils avisés.
- Quatre de nos membres sont en mission et deux autres hors d'état. Qui enverras-tu Slino?, demanda Driana.
- Compte-toi aussi dans ceux qui ne peuvent pas y aller, tu es trop indispensable ici pour soigner les blessés. Moi non plus, je ne pourrais venir. Je propose donc que Darkos mène cette expédition.
Tous furent d'accord et Slino continua:
- Je nommes Kai, Him'or et Taori pour le seconder et une cinquantaine de cavaliers.
Darkos secoua la tête négativement et dit:
- Pas de cavalier, ils sont trop diminués sans leurs montures et les chevaux de guerre sont trop voyants.
- Alors quoi?
- Des fantassins montés sur les chevaux de bas et les mules, les bêtes nous attendrons dans une cachette sûre tandis que nous finirons le trajet à pieds.
- Ainsi cela sera. Je déclare donc ce Conseil terminé.
Les élus se levèrent aux paroles de Slino et sortirent de sous la tente. Kratos sortit le dernier et chercha son père qui était déjà loin. Il courut pour le rattraper et lui lança, haletant:
- Père, laissez-moi venir avec vous!
Darkos se tourna vers lui et lui demanda avec son calme habituel:
- Pourquoi ne l'as-tu pas dit à Slino?
- Et bien...
Kratos se tortilla l'air gêné: il n'avait pas osé mettre en avant sa demande devant tout le monde. Darkos l'avait bien compris et, tandis qu'il montait sur son pégase qu'on venait de lui amener, il déclara:
- Quand tu sauras vaincre ta timidité pour avoir ce que tu désires, tu pourras m'accompagner dans des missions aussi dangereuses.
Darkos laissa là son fils et faisant cabrer son étalon rejoignit au galop ses troupes. Il arrêta Damnation, noir de pelage et rouge de pupille, devant les cinquante fantassins qui aller l'accompagner et Him'or, Taori et Kai étaient à ses côtés.
- Défenseurs d'Arkanir!, cria-t-il pour qu'on l'entende bien, Les négociations sont terminés et cela par nos ennemis! Nos diplomates se sont faits tués, deux élus sont gravement blessés! Cela ne sera pas impunis! Pour nos frères qui ont rejoint dame Filina dans son royaume de l'Au-Delà, nous combattrons les démons! Moi, Darkos Longuépée élu du dieu-dragon Shivo je jure de venger ceux qui ne sont plus!
Tandis qu'il parlait, son ombre laissa apercevoir sa véritable nature: elle prit la forme d'un énorme dragon qui rugit avec colère, embrassant le ciel de sa flamme or et pourpre.
- Seriez-vous avec moi!?, demanda ensuite l'elfe-dragon qui savait pertinemment qu'il venait de conquérir l'imagination de ses soldats.
- Oui, général Darkos!, cria d'une seule voix la troupe qui lui faisait face.
Darkos ne rajouta rien et levant son épée il partit au galop vers la sortie du camp suivi par ses troupes. Kratos courut alors jusqu'à sa plate-forme et hurla tandis que la poussière soulevée par les chevaux s'estompait à l'horizon:
- Père revenez vivant!


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Message par Lisa36 Jeu 10 Fév - 0:16

Pas mal =) Par contre, pourrais-tu un peu décrire le paysage ? Tu écris super bien et c'est l'unique bémol (qui est assez moindre et peu gênant)
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Message par Turozero Jeu 10 Fév - 22:39

Pas dans cette partie car le seul paysage ce sont les plaines d'Hûr et une forêt en bordure= je me concentre uniquement sur la description militaire. Par contre, la seconde partie est plus axée sur la description des physiques et caractères des perso, des villes qu'ils visitent et des paysages.
Sinon, merci pour le compliment et je pense mettre la suite prochainement (j'ai pas voulu tout mettre d'un coup pour pas faire trop).
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